Voila je profite d'avoir fini une partie de mon premier long-roleplay pour le poster ici et faire un coucou à tous, vous dire que j'éxiste encore ig, et qui si jamais vous avez besoin de quelquechose, de me mp
.
Elle est en moi, elle me possède, elle m’obsède.
Depuis trois jours et trois nuits déjà je ne dors plus, cette image devant mes yeux me terrorise, me dévore et ne laisse derrière elle que des cendres de mon esprit. Pourquoi ? Pourquoi…
Et pourtant, rien n’aurai pu me préparer à ce qui m’est arrivée. Vraiment rien. La lune était claire ce soir là, et mes compagnons s’adonnaient à de basses beuveries sous l’œil attentif de notre vieil enutrof, Zorn.
Celui-ci sentait la vieillesse dans ses os, elle lui martelait sans cesse le moindre nerf de son corps, comme pour lui rappeler que le temps, lui, n’attend pas.
Le temps… et si je l’arrêtais… comment…. Ses pensées s’enchaînèrent et, telle une toile d’araignée, tissèrent un plan qui défia la raison.
-Mes compagnons je vais vous demander un peu de calme ! le silence vint aussitôt dans la taverne, rompu par le réflexions sonores d’un ecaflip qui, une fois de plus, avait trop bu.
-Voilà quarante lunes que nous sommes ensemble. Jamais rien ne nous a résisté, jamais. Mais aujourd’hui quelque chose nous défie, et nous tue ! La salle buvais les paroles de ce sage si âgé et pourtant si vif.
-Hé papy ! C’est la binouze qui te bouffe ? Et Chat parti d’un grand rire, entraînant avec ses compagnons dans sa moquerie.
-Non, le Temps.
…
Le vide. La taverne ne fut qu’un grand vide. Personne ne savait si ce vieil enutrof avait définitivement perdu la raison, où bien s’ils allaient partir pour une aventure tellement extraordinaire que peu pouvais en concevoir toutes ses implications.
-Le Temps mes amis, celui qui ronge vos années, qui vous rapproche de la mort, et que personne n’a jamais su arrêté, celui qui emporta tant des nôtres, et celui qui frappe à ma porte aujourd’hui. Nous le dompterons, le capturerons, et le soumettrons. Je me rappelle dans ma jeunesse avoir lu le grimoire de Xelor et de son horloge. Ce soir mes amis, mettons le temps u défi de nous arrêter avant que nous ne l’arrêtions, et ce pour toujours !
Apres un tel discours, et l’alcool aidant, ses compagnons burent à la santé de ce projet si fou qu’ils en devenait irrésistible. Zorn, soulagé de voir que ses amis le suivraient dans cette entreprise, bu à son tour et participât au foutoir général qui régnait dans la taverne.
Alors qu’il sentait que les vapeurs d’alcool avaient raison de lui, il distingua une forme vaguement féminine et visiblement sombre qui traversai la salle, s’approchant de lui, sans que ses compagnons ne la remarque. Tel un rêve, elle s’approchât de lui, sa capuche cachant son visage
-Pauvre fou, qu’a tu donc fait. Cette voix… qui…l’alcool m’empêche de la reconnaître.
-Jamais Xelor ne te laissera vivant, toi et tes compagnons, vous vous êtes vous-même condamnés !
-Et qui est tu pour juger du rêve des autres ?!
-Peu importe, j’était et je serais, mais aujourd’hui je te prévient, fou sénile, fuit cette terre tant que tu le peut encore, car le temps, tu n’en a plus.
Et dans un bruissement d’étoffe elle sortie de la taverne, un léger cliniquement provenant des dagues accrochées à sa ceinture.
Des dagues….Sombre Capuche…Qui… Soudain les yeux de Zorn s’arrondirent, cherchant, mais ne trouvant pas, dans son regard on pouvais y lire le désespoir, l’incompréhension.
Oui…je te reconnais…Renégate.Je n'ai pas encore fini la suite, qui sera en trois parties (aventure, final et post-conclusion) Mais voila deja un bon amuse-gueule.